Contraintes des documents écrits selon Manon

 

 

Oh hé matelot,

 

De nombreux documents écrits sont nécessaires à la gestion du projet Kinavigue. Mais, quelles en sont les diverses contraintes ? Pour répondre au mieux à cette question, chacun des membres de l’équipage Kinavigue apportera son point de vue au travers des prochains articles.

 

Pour commencer, c’est moi, Manon, qui vais apporter ma réponse selon les différents types de documents écrits auxquels j’ai déjà pu être confrontée.

 

Pour commencer, l’écriture des divers mails aux centres de rééducation, bateaux, sponsors, banque, médias, ordre des masseurs-kinésithérapeutes… nécessitent un certain professionnalisme. Il est important de montrer le sérieux de notre projet ainsi que notre motivation auprès des personnes avec qui nous voulons travailler. Pour la plupart, ils n’ont pas grand-chose à gagner en aidant notre association. C’est pourquoi nous devons montrer respect, engagement et responsabilités, tout en utilisant un vocabulaire adapté et soutenu. Finalement, il s’agit là de gagner la confiance de nos interlocuteurs ce qui n’est pas toujours évident du fait notre jeune âge ou encore de la crise sanitaire.

 

Participant beaucoup à la communication sur les réseaux sociaux, j’ai écrit un grand nombre de publications. Celles-ci nécessitent une grande capacité d’adaptation selon le public ciblé. Généralement, nous privilégions de belles photos accompagnées d’un contenu concis. Contrairement, aux mails, nous pouvons aisément utiliser des touches d’humour, des emojis et un vocabulaire plus courant. En effet, il ne faut pas oublier que nous touchons un public relativement jeune. Pour qu’une publication soit efficace, il est nécessaire de la partager entre 18 et 20 heures, tout en évitant certains jours comme le vendredi soir. Cela demande donc de l’organisation et du temps.

 

Nous avons choisi de diviser notre blog en deux. Une première partie de présentation du projet qui s’adresse notamment à un public non-présent sur les réseaux sociaux et une seconde partie, portant sur l’aspect réflexif et organisationnel de notre projet. Peu de personnes consultent le blog, mais il nous permet d’étayer nos propos plus longuement et de montrer notre investissement à celui qui veut en savoir plus. On y retrouvera, bientôt, un article concernant notre cahier des charges, ce qui pourra intéresser les différents acteurs avec qui nous échangeons. Toutefois, la réalisation de ce blog et du cahier des charges n’aura pas toujours été simple, notre projet étant en cours de construction.

 

Mon rôle de présidente au sein de l’association, me confronte directement à divers papiers administratifs et notamment à des signatures. C’est une grande responsabilité qui peut avoir des conséquences énormes sur notre projet associatif. Un temps de réflexion avec l’ensemble de l’équipage Kinavigue est donc toujours privilégié. Le monde associatif étant complètement nouveau pour nous, nous nous sommes sentis perdus à plusieurs reprises, notamment lorsqu’il a fallu rassembler tous les papiers nécessaires à la création de l’association ou du compte bancaire. Nous nous sommes désormais habitués à la rédaction des procès-verbaux qui requièrent votes, rédaction et signatures à chaque Assemblée Générale de l’association.

 

Pour conclure, il est selon moi, essentiel de retenir qu’un document écrit doit être réfléchi, relu et nécessiter l’avis des autres membres du groupe avant d’être publié, envoyé ou signé. Dans ces conditions d’adaptation, les contraintes des divers documents écrits deviennent moindres.

 

A bientôt.

 

Manon